CHRISTINE JORDAN
Avant de faire vos premiers pas…
… découvrez mon parcours.
Je crée et nourris mon travail dans la nature, au gré des sons, des odeurs, des couleurs et des formes en mouvement.
J’ai vécu en ville et à la montagne en Belgique et en Suisse.
Je suis installée en Ajoie depuis décembre 1997 avec ma famille.
Gardienne à l’alpage, monitrice sportive et intervenante socio-culturelle ont précédé ma profession d’éducatrice sociale. Mon champ d’accueil et de relation s’est étendu vers un public allant de la petite enfance aux personnes âgées.
Durant plus de 30 ans au sein d’institutions spécialisées, j’ai développé ma créativité et apporté mes valeurs sociales et écologiques dans les domaines pédagogique, éducatif et thérapeutique.
En groupe ou individuellement, j’ai travaillé avec des enfants aux besoins spécifiques, présentant notamment des troubles du spectre autistique (TSA), des troubles de l’anxiété ou du comportement.
J’ai suivi une formation continue sur l’observation du bébé de 0 à 2 ans selon la méthode d’Esther Bick.
Au cours des 10 dernières années, la pratique de la prise de conscience par le mouvement (PCM) est venue enrichir davantage mes connaissances sur le développement et le potentiel du vivant, son adaptation, sa mobilité, son originalité.
De cette expérience s’en est suivi le profond désir de me former professionnellement à la méthode Feldenkrais.
Mes envies et compétences personnelles et professionnelles se sont donc rejointes au cours des 4 ans de formation à Paris. C’est ainsi que l’ouverture d’un nouvel espace de travail a muri et que « la cabane au mouvement » a vu le jour.
C’est avec tout mon enthousiasme que je l’occupe et y transmets cette méthode d’apprentissage et de prise de conscience.
Les espaces naturels me servent à la fois de refuge et de ressource pour enrichir des liens solides et authentiques avec les enfants et les adultes dont je prends soin.
Petits et grands, si le désir se manifeste d’améliorer la connaissance et l’estime de soi , venez faire vos premiers pas…
« Ce n’est pas tant la souplesse des corps qui m’intéresse, mais celle de l’esprit, celle qui permet à chaque individu de retrouver sa dignité. »